Le 5 septembre, à Ottawa. Le Bureau canadien de l’éducation internationale (BCEI) souhaite la bienvenue au Canada à la cohorte 2017 des boursiers et boursières du programme des Leaders africains de demain et leur souhaite toute la réussite qu’ils méritent dans leurs études de maîtrise dans des universités du pays.
« Nous sommes fiers d’être associés à ce programme, qui permet à de jeunes professionnels africains de renforcer leurs capacités en politique publique et administration publique. Ces boursiers et boursières auront une occasion tout à fait particulière de se voir exposer aux pratiques du Canada grâce à la composante de mentorat. Ils auront un rôle vital à jouer dans le renforcement stratégique de leur pays à leur retour en Afrique à la fin de leurs études », déclare Karen McBride, présidente et chef de la direction du BCEI.
Au total, ce sont 44 boursiers et boursières, représentant 29 pays africains, qui commencent leurs études dans 17 universités au Canada, de Corner Brook, Terre-Neuve, à Vancouver, C.-B. Ces boursiers et boursières étudieront des aspects bien précis d’administration publique et de politique publique selon leur expérience professionnelle. Les boursiers et boursières de cette année se concentreront sur l’éducation, l’environnement et la santé, la réforme de la fonction publique et les finances publiques, entre autres intérêts sectoriels.
La cohorte 2017 des boursiers et boursières du programme des Leaders africains de demain étaient à Ottawa du 23 au 25 août à l’occasion d’un programme d’orientation qui a comporté une visite de la colline du Parlement. La communauté diplomatique africaine et les partenaires du programme étaient là pour accueillir les boursiers et boursières au Canada et leur donner des conseils pour commencer la prochaine étape de leur perfectionnement professionnel.
Le programme de bourses pour les leaders africains de demain est financé par le gouvernement du Canada par l’intermédiaire d’Affaires mondiales Canada et par la Fondation Mastercard. Il est géré par le BCEI en partenariat avec l’Institut d’administration publique du Canada et en collaboration avec l’Association africaine pour l’administration publique et le management et l’Association canadienne des programmes en administration publique.
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