La santé, la santé réelle, la santé complète, comprend une santé mentale positive. Mais s’épanouir dans le stress quotidien de la vie peut être difficile pour les étudiants, surtout pour les étudiants internationaux qui font face à des contraintes supplémentaires à leur bien-être mental.
Vous avez la possibilité de faire la différence :
- Parce que partir de chez soi pour naviguer le monde des adultes est difficile.
- Parce que les étudiants internationaux ont de nombreux facteurs de stress, du stress lié au fait d’évoluer dans une toute nouvelle culture au stress lié aux contraintes financières possibles et aux problèmes de langues/jargon.
- Parce que, vivant loin de leur famille et autres systèmes de soutien, les étudiants internationaux peuvent se sentir particulièrement vulnérables aux difficultés de santé mentale.
- Parce qu’en raison des différences culturelles, parler de la santé mentale n’est pas si simple, et que les étudiants internationaux peuvent ne pas chercher ni recevoir d’aide de santé mentale.
- Parce que les jeunes sont réputés être ouverts aux nouvelles idées – les étudiants sont la population idéale pour les messages de santé sur les choix de styles de vie et notions qui enlèvent les préjugés sur la santé mentale.
Les étudiants internationaux font face à différents facteurs de stress et des travaux derecherche du BCEI indiquent qu’ils se sentent isolés, sont victimes de discrimination et n’ont pas beaucoup d’amis canadiens. Mais nos travaux indiquent aussi qu’ils adorent faire des études au Canada et sont ouverts aux nouvelles idées. Cela veut dire qu’ils sont probablement bien placés pour réagir positivement aux interventions de santé mentale; des interventions qui peuvent avoir des retombées durables sur leur vie.
Pouvons-nous compter sur vous pour #PARLERHAUTETFORT?
La semaine de la santé mentale de l’ACSM est célébrée du 2 au 8 mai 2016
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